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Et qui l'entend crier mon cerveau dans sa cage ?
Et qui l'entend crier mon cerveau dans sa cage ?
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23 juillet 2006

Pathétique

Même jour, Même personne, Même sérérnade.

D'humeur à me mettre decker, j'ai bu mes verres de pastis chez moi hier, seule en tête à tête avec moi, moi même , ma bouteille et l'ami le verre. J'ai rapidement arrêté, tentant de faire grandir ma motivation qui n'était pas à la sortie nocturne. En vain.  Je me suis endormire une heure aprés en tenatnt de lutter contre l'appel de Monsieur Morphée.

D'humeur à sortir, à aller boire un verre (de coca), je n'ai pas eu à suciter ma motivation nocturne puisqu'elle était deja là. Elle est toujours là en réalité, et je risque pas de repondre à ce désir de sortie ce soir. Je m'ennuis, que dis je m'emmerde. A defaut de boire du pastis je me suis mise à l'eau, je bois, bois et rebois. Comme si tout ca aller me nettoyer la pourriture qui sévit à l'intérieur.  J'ia le coeur super lourd pour un raisin sec. Plus c'est sec, moins c'est lourd, non? Dans la logique? Ca pése lourd au point que ca va peser sur tous les autres organes à force.

C'est horrible cette sensation de tourner en rond, en se doutant que le sommeil ne viendra pas avant demain matin, et que pendant tout ce temps là il va falloir so'ccuper avec du néant.

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